Un projet à but non lucratif, qui génère des revenus dans le seul but de couvrir les dépenses opérationnelles, est-il classé dans la catégorie 1 ?
Non, un tel projet sera classé dans la catégorie 2.
Vous trouverez les réponses à vos questions lors des webinaires dans les documents Q&R dans notre Centre de téléchargement.
Non, un tel projet sera classé dans la catégorie 2.
Oui,
c'est possible à condition que les deux candidats et le projet
lui-même répondent aux critères d'éligibilité. La
catégorisation dépend uniquement du type de projet : Catégorie 1,
Projet à but non lucratif ne générant aucun revenu ; Catégorie
2, Projet à but non lucratif générant des revenus.
Cela dépend du type de candidat et de l'objectif du projet. Si les actifs appartiennent à une entité à but lucratif ou si le projet génère des revenus ou des bénéfices qui peuvent être distribués à des entités ou à des personnes privées, la catégorie 3 ou la catégorie 4 s'applique, la catégorie 3 ou la catégorie 4 s'applique.
Non; La catégorie 1 peut s'appliquer à tous les types de projets tant qu'ils sont à but non lucratif et qu'ils ne génèrent pas de revenus.
Oui, mais seulement si ce projet ne génère aucun revenu, Dans le cas contraire, c'est la catégorie 2 qui s'applique. Cependant, si le projet est à but lucratif ou si les actifs appartiennent à des entités privées, alors la catégorie 3 ou 4 s'applique.
Un projet présenté par une société privée peut être considérée de catégorie 2, à condition que :
En principe oui, pour autant que les projets remplissent les conditions de la catégorie 1 ou 2.
Oui.
Le nombre d'emplois créés n'est pas pertinent pour la catégorisation des projets.
Non. Si le projet est composé de plusieurs éléments appartenant à des catégories différentes, chaque élément du projet doit être présenté séparément.
Oui. Les autorités locales, en tant qu'entités publiques, répondant aux critères généraux d'éligibilité peuvent participer aux appels à propositions de l’IFE.
Oui.
Oui. Chaque projet doit être soumis indépendamment et sera évalué selon ses propres mérites. Le candidat ( individuel ou consortium) doit démontrer sa capacité technique et financière à entreprendre et à mettre en œuvre plusieurs projets en parallèle.
La subvention IFE est ouverte à tous les secteurs, sauf indication contraire dans certains appels à propositions spécifiques. Toutefois, la "liste d'exclusion du groupe KfW" définit les secteurs spécifiques que l'IFE ne finance pas. Veuillez-vous référer à : https://www.kfw.de/PDF/Download-Center/Konzernthemen/Nachhaltigkeit/Ausschlussliste-FR.pdf
L'IFE n’accorde pas de priorité ni de considérations particulières aux projets qui visent les groupes défavorisés et/ou sous représentés de la société. Toutefois, les candidats sont encouragés àdécrire ces effets dans le cadre du concept du projet .
Non, chaque candidat est tenu de soumettre sa propre demande et les pièces justificatives correspondantes, y compris les états financiers. Les états financiers doivent être audités dans le cas de sociétés commerciales privées. Des relevés bancaires peuvent toutefois être fournis, par exemple pour vérifier la disponibilité des contributions en numéraire prévues. Veuillez noter que les banques ne sont pas éligibles aux AàP de l'IFE.
Les associations professionnelles sont éligibles. La catégorisation dépend du type de projet proposé, et non du demandeur (veuillez consulter les Lignes directrices pour les demandeurs pour plus de détails sur les catégories de projets).
Les institutions de microfinance ne sont pas éligibles. Les institutions financières ne sont pas éligibles dans le cadre des AàP de l’IFE, y compris les banques commerciales.
L’IFE attend de tous les membres d’un consortium qu’ils démontrent une situation financière saine, en respectant les critères suivants :
Un tel projet est éligible sous les conditions suivantes :
Ces investissements sont éligibles en tant que contribution en nature sous les conditions suivantes :
Ces investissements sont éligibles en tant que contribution en nature dans les conditions suivantes :
Non, bien qu’un consortium puisse apporter une capacité financière combinée et une expérience de gestion antérieure comme valeurs ajoutées pour répondre aux critères de l’IFE.
Oui, s’ils répondent aux critères d'éligibilité des candidats et des projets.
Oui, pour autant que le projet respecte les conditions de l'IFE telles que définies dans le guide d’instruction pour les candidats.
Si le projet est trop important pour la filiale, la société mère peut se porter candidate en tant que candidat principal. Il faut cependant garder à l’esprit que l’IFE ne financera pas les projets qui servent à refinancer, restructurer ou réhabiliter une filiale ou toute autre société en général.
Oui, mais uniquement si l'entité récemment enregistrée est détenue par un candidat individuel éligible ou par l'un des membres du consortium (par exemple, filiale, coentreprise, SPV), et si les actionnaires respectifs de cette entité sont en activité depuis au moins trois ans au moment de la soumission de la proposition de projet.
Oui, les filiales ou les sociétés sœurs qui participent activement au projet doivent devenir membres du consortium.
Non, les emplois créés dans les entreprises sœurs ne peuvent pas être comptabilisés comme des emplois d’entités tierces (ICP 1b), mais sont considérés comme des emplois créés par le candidat (ICP 1a).
Oui, même une société nouvellement créée doit être établie au moment de la soumission de la proposition. En outre, une entité récemment créée ne peut pas être le chef de file. Dans ce cas, c'est la société mère qui doit être le postulant principal et qui doit remplir les critères d'éligibilité.
Oui, mais à condition que la société nouvellement créée soit détenue par l'ancienne entité, que l'ancienne entité soit toujours en activité et que l'ancienne entité soit le chef de file.
Oui, mais seulement à condition que la succursale soit une entité légalement établie dans le pays de l'appel à propositions, qu'elle opère sous toutes les licences requises pour le secteur d'activité concerné et qu'elle soit membre du consortium.
La durée maximale s'applique uniquement à la phase d'investissement du projet. La phase d'investissement de tout projet ne peut dépasser 24 mois et doit être achevée dans les 30 mois suivant la signature de la convention de financement. L'investissement (c'est-à-dire les travaux d'infrastructure, l'achat d'équipements techniques, etc.) doit commencer au plus tard 12 mois après la date de signature de la subvention. La phase opérationnelle doit se dérouler à un rythme normal, sans interruption, et être financièrement viable.
Oui, une durée maximale de 30 mois s'applique après la signature de l'Accord de Subvention. Pendant cette période maximale, toutes les activités préparatoires et d'investissement doivent avoir été réalisées (voir les Lignes directrices pour les demandeurs pour plus de détails).
Oui, mais seulement pendant la période de préparation / d'investissement du projet et seulement si l'assistance technique est étroitement liée à l'investissement, absolument nécessaire à la réalisation des opérations planifiées et effectuées par des entités externes.
Non.
Oui, il est considéré comme un coût éligible sous les conditions suivantes :
Oui, ils le sont. Les coûts annuels de maintenance sont considérés comme des OPEX et ne sont pas éligibles à la subvention IFE car ils font partie de la phase opérationnelle.
Non. Tous les coûts d'investissement doivent exclure la TVA.
Si la TVA doit être financée par le demandeur, les coûts correspondants doivent être inclus dans les coûts non éligibles du plan d'investissement.
Non. Les contributions immatérielles telles que les brevets, les noms de marque ou les droits d'auteur ne sont pas éligibles.
Non.
Oui, mais uniquement dans le cas où les solutions informatiques ou les programmes de formation prévus sont exclusivement requis pour le projet prévu et si leur valeur est prouvée.
La valeur de chaque contribution en nature doit être certifiée par des sociétés de conseil et/ou des consultants légalement enregistrés, et les documents justificatifs devraient idéalement être soumis dès le stade de la note conceptuelle. L'IFE peut procéder à sa propre évaluation.
Oui, mais seulement sous les conditions suivantes :
Non. Les contributions immatérielles ne sont pas éligibles.
Les candidats peuvent présenter une projection de trésorerie alternative avec une subvention réduite et une contribution propre accrue et peuvent s'efforcer de réduire la taille du projet, mais dans la mesure où le projet ne tombe pas en dessous du seuil minimal de la subvention ou de l'indicateur de performance (KPI). En outre, la nature et les objectifs du projet ne doivent pas être modifiés. Dans le cas d'une demande d'augmentation de la subvention, le demandeur doit fournir des arguments solides et convaincants pour que cette augmentation soit acceptée par l'IFE.
Oui, pour autant que les conditions de financement soient acceptables.
Outre les critères formels d'éligibilité, les entités publiques doivent démontrer leur capacité à :
Oui, ils doivent être certifiés et audités (c'est-à-dire signés et datés) par une société de conseil indépendante et/ou des consultants pour les entreprises privées qui sont tenues d'avoir des états annuels certifiés.
Les entités non soumises à l'obligation légale d'audit de leurs comptes doivent documenter leur équilibre budgétaire des trois dernières années par d'autres moyens documentés.
Le taux de change à la fin de l'exercice financier concerné doit être utilisé pour la conversion en euros. Vous pouvez obtenir ces taux historiques sur le site www.oanda.com. Veuillez toujours indiquer la source des taux de change utilisés.
Oui, mais tous les coûts en monnaie locale doivent être convertis en euros en utilisant le taux de change réel. A cette fin, le taux de change utilisé doit être indiqué. Ceci s'applique à tous les niveaux de la proposition de projet initiale et de la proposition de projet détaillée (les templates de SmartME, les tableaux Excel et les autres documents).
Les états financiers certifiés et audités du candidat (c’est-à-dire de la société mère) doivent être soumis.
Les projections financières saisies dans le modèle "Plan financier" doivent être basées sur le taux de change en vigueur au moment de la soumission.
Toutes les pièces justificatives en arabe (c’est-à-dire les états financiers, les licences commerciales, etc.) doivent être traduites en anglais ou en français au stade de la note conceptuelle. Seuls les candidats présélectionnés devront présenter des traductions certifiées/notariées au stade de la Proposition de Projet Complète.
Oui, c’est obligatoire. Les données financières des plans de financement ainsi que les projections de trésorerie doivent être soumises en EUR. Seules les déclarations financières sont acceptées en monnaie locale.
Les emplois peuvent être comptabilisés s'ils sont créés soit au sein de l'entité du demandeur, soit au sein d'une entité du consortium du demandeur (KPI 1a), à condition que le rôle de chaque membre du consortium dans le projet soit clairement décrit.
De plus, les emplois peuvent être comptabilisés s'ils sont créés auprès de tiers (KPI 1b).
Tous les emplois doivent remplir certaines conditions (voir les détails dans les Lignes directrices pour les demandeurs) et seuls les emplois créés dans le secteur privé peuvent être pris en compte.
Qui.
- Non, ces emplois doivent être comptabilisés dans le cadre de l'ICP 1a.
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